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Alors s'ensuivent des questionnements en tous genre. Que serait-il arrivé si je ne lui avais pas montré ce fichu blog (pas celui-ci, un autre) qu'apparement il ne connaissait pas ?

Pourquoi est-il revenu ? Parce que je lui ai avoué qu'un jour j'avais voulu le rejoindre ? Qu'entends-il par : "Ce n'est pas viable sur le long terme" ? Qu'il a songé un instant me prendre près de lui ?... Non, surement pas. Mais quoi, alors ?

Ai-je fait une "faute" en m'inquiétant un peu vite de son absence ?... Si je ne tenais pas autant à lui !... Là-dessus, je dois le laisser aller à sa guise... Une semaine, quinze jours, six mois...S'il revient ! Sans savoir. Je veux bien tout ce qu'on veut, mais là, c'est bien au-dessus de mes forces ! Ce serait parfait si je n'avais qu'une vague amitié pour lui, mais là, je ne peux pas !

Alors je me suis énervée, je l'ai "quitté" en lui disant que je ne répondrais pas à ses coms, qu'il se porte bien, etc, etc...

Seulement, bien sur, je n'ai pas pu me tenir tranquille. Et comme, dans l'histoire, il m'a fait la grande scène du jaloux, disant que de toutes façons il avait vu dans les coms que je me passais parfaitement bien de lui... Eh bien, je n'ai pas pu résister et j'ai été lui crier par mail que je n'aimais que lui. Mauvaise idée. Je le savais en plus. Je connais le numéro. Mais c'était insupportable qu'il m'accuse ainsi, alors que toutes mes pensées sont encore tournées vers lui, même s'il est vrai que j'essaie de me reconstruire ailleur. De toutes façons, ce n'étaient que des excuses. Il me l'a dit. Heureusement, parce que je ne supportais pas l'idée qu'il doute de moi.

Dans l'histoire, il a dit qu'il s'en allait. Qu'il ne pouvait que reculer face à la "violence" des mes sentiments.

Bref, il est parti. Une nouvelle fois, précisant que si je savais bien le faire revenir, cette fois-ci serait sans doute différente.

Je ne puis m'empêcher de chercher l'erreur. Mais ça ne sert à rien.

Je perds mon temps à lui courrir après et il veut que je le laisse partir.

Il n'empêche que je continue à essayer d'attraper des miettes de lui.

Bon, je vais essayer de continuer ma route, mais là, tout de suite, c'est un peu dur.